Écrit le 25 octobre 2016
D’un coup je me suis retrouvé perdu, deux seamines après j’ai retrouvé le bon chemin. Au passage j’en profite pour vous présenter le Tachgon!
Le dessin du Tachgon est sous copyright, il a été réalisé par la talentueuse et sympathique Pinguinolog.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 12 juillet 2015
Le musée d’histoire naturelle de Bruxelles est vraiment chouettes. Les squelettes montés d’iguanodons sont vraiment impressionnants (et ce ne sont pas des moulages, mais de vrai fossiles). Le reste de l’exposition est claire, relativement bien expliqué avec pas mal d’éléments interactifs.
C’est avec des larmes aux yeux que je suis sorti de ce musé tant je me répugnais à en partir. J’en suis sorti avec encore plus de rêves que les enfants qui passaient très rapidement devant chaque fossile et animal empaillé (il n’y avait pas que des dinosaures).
Il y avait même Hallucigenia avec un moulage de fossile (pas évident à regarder, car il fait 12 mm et le fossile était placée à 30-40cm des yeux derrière une vitrine 😣).
En tout cas, dès que je peux, j’y retourne!
La photo est sous licence Creative Commons BY-NC et a été prise par moi.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 30 novembre 2012
Et voilà un sympathique dessin commandé à mon amie RenaCirca. Héhé, hrrrm, je pose de cette manière car même si je suis bavard et bon vivant, je suis timide.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 5 septembre 2012
Je n’ai jamais eu d’animal de compagnie à la maison (pour un grand nombre de raisons, ennuyeuses, longues à lister, et j’ai encore un grand nombre de raisons), ce qui est gênant lorsqu’on fait des études où l’on doit les approcher de prêt et les toucher. Néanmoins, j’ai eu deux poissons rouges, qui ont fini par s’entretuer, ça peut compter en partie?
Et le labrador d’une amie aurait put dissuader plus d’un de vouloir s’approcher d’un chien, il venait s’allonger à côté de vous et laissez un bon souvenir bien odorant, vraiment odorant. Mais c’était un bon pépère et je pense qu’il a joué un bon rôle dans l’orientation de mes études (merci Kendy, vous avez sa photo un peu de partout sur le site de Ren’).
Un ami m’a demandé de tenir son chien devant la bibliothèque vétérinaire, et… c’était pour moi quelque chose de nouveau que de tenir un chien en laisse:
_ Ça se tient comment, heu, comme ça?
_ Oui, oui.
_ Et je fais quoi s’il bouge, je tire un peu, je le laisse bouger, je fais quoi?
_ Tu le tiens tout simplement.
_ T’es sûr, y’a pas un truc spécial à faire, non?
_ Non, non, je reviens dans 5 minutes.
_ Gloups.
Et son chien c’est mis à crier à la mort ensuite. Je vous passe quelques péripéties, mais au final je m’en suis pas trop mal sorti (en même temps il n’est que parti 5 minutes vous allez me dire).
Et quoi que vous puissiez croire maintenant, non, je ne suis pas anxieux, je veux juste être sûr de ne rien faire de bête… warf :3?
Et d’un coup l’année dernière, la pension. Où, soudainement je me suis retrouvé entouré de plusieurs dizaines de chiens. Le propriétaire m’avait fait faire le tour de la pension, avec pour départ, la cour du milieu. Cette cour est particulière, les chiens qui s’entendent bien entre eux s’y retrouvent (en général les femelles, les mâles jouent souvent au fauteurs de troubles). Le petit plus, c’est qu’ils débordent aussi beaucoup d’énergie pour demander des câlins, venir renifler le petit tout être vivant qui passe ou encore demander des câlins et vous sauter dessus.
J’étais sorti de là, tremblant comme une feuille, mais pas de peur, au contraire j’étais grisé, électrisé et surtout enthousiasmé. Vous savez, j’étais comme un de ces personnages de film qui essaye une voiture de sport et qui après le test d’une voiture de sport se tourne vers le concessionnaire et scande un « Je signe où? », direct et franc.
Les tâches à effectuer chaque jour sont les mêmes, nettoyer les boxes, donner les croquettes, ramasser les crottes et balayer; mais aucun jour ne se ressemble. Les chiens sont tous différents et ont leur caractère bien à eux. Il y a ceux qui s’en fichent de vous voir passer, ceux qui sont content et prêts à vous sauter dessus de joie, ceux qui sont peureux et ceux qui jouent les gardiens (je ne dirais pas agressif à proprement dit). Et on peut avoir de jolie surprises, l’autre jour un chien est venu me demander des caresses et en redemandait encore alors que le jour précédant il sursautait dès qu’il voyait ma main approcher.
J’ai également été mordu, une blessure profonde mais pas de quoi s’affoler non plus, le chien avait vite relâché mon bras. Ce sont des choses qui peuvent arriver, et l’une des choses que je craignais le plus. Ce n’est pas la morsure que je craignais, mais les conséquences: la peur d’approcher les chiens, de généraliser, d’avoir la boule au ventre à chaque instant. Et non. Je ne l’ai pas si mal pris que ça, cette morsure restera pour moi une bonne expérience (et un petit rappel, lorsqu’un chien vous mord, vous devez contacter le centre anti-rabique, y être suivi et le chien voire trois fois le vétérinaire sur deux semaines pour être sûr qu’il est indemne de la rage, même vacciné).
Grâce à la pension, je me sens plus à l’aise avec les chiens, je comprends mieux leur réaction, j’écoute les critiques de ma patronne sur les vétérinaires et les médicaments qu’ils prescrivent. J’en apprends beaucoup, et ce sera un plus pour m’occuper du mieux possible de nos amis à quatre pattes quand je sortirai le diplôme en poche ;3.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 1 août 2012
Là, encore, je rapporte la nouvelle en retard, qui fait suite à mon précédent billet sur l’accident de voiture.
Je suis toujours confus, et je vais probablement écrire ce billet d’un trait, mais il faut que ça sorte.
Le petit ami de Gemily (Wolgem), Hari (Elden), n’a pas survécu à ses blessures, et il est décédé il y a quelques jour à l’hôpital. Ce jeune homme est mort, en faisant quelque chose que je ne sais pas si j’aurais été capable de faire, il réussi à sauver la vie, ou du moins à éviter de terribles blessures à sa petite amie. Au prix de la sienne. Si une telle chose devait arriver, j’espère pouvoir agir de la même manière.
Et même, un couple a été séparé de la manière la plus violente qui soit.
Je vous l’ai dit, je ne suis pas vraiment croyant, mais toutes mes prières et mes pensées vont à Gemily et feu Hari.
Cette histoire (ce mot ne me paraît pas correspondre, ce n’est pas une simple histoire, c’est une réalité) m’a beaucoup touché, je ne connaissais pas ce couple (encore moins leur quatre chiens), mais je m’y suis identité, projeté et ouvert mon empathie (sans avoir connu une telle chose).
J’ai beaucoup aimé mon ex-fiancée, je tenais énormément à elle et je ne manquais pas un instant pour la serrer dans mes bras, lui tenir la main ou déposer un baisé (je vous rassure on c’est pas séparé parce que j’étais étouffant). Par pitié, faîtes savoir aux personnes que vous aimez que vous aimez, ça parait bateau, ça l’est d’ailleurs, mais au moins, vous ne le regretterez jamais.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 17 juillet 2012
J’ai eu récemment avec mon excellente amie Rena-Circa une discussion sur les zoos, j’ai presque regretté de lui en avoir parlé, de peur de la blesser car je sais que le sujet est sensible chez elle. Et je n’aime pas blesser mes amis 3:. Mais, je vous rassure, la discussion c’est bien passée. J’ai juste eu une peur bleu quand je ne lisais plus de réponse vers la fin et qu’elle était d’un coup déconnectée… Non elle n’était pas fâchée, ça connexion avait juste lâchée.
Je la remercie d’avoir joué avec moi le rôle du diablotin et de l’angelot qui chuchotes chacun leur conseil à l’oreille de leur protégé.
Les zoos ont souvent fait l’objet de critiques, quant à leur utilité et de la cruauté de garder des animaux enfermés, mais ont depuis toujours réussi à attirer un public varié: des curieux, des passionnés de zoologie, des photographes, des écrivains, des journalistes, des enfants, des scientifiques… et probablement vous même! Mais quel est l’utilité d’enfermer des animaux, alors qu’ils pourraient gambader librement et heureux dans la nature?
Les zoos ont depuis tout temps été un lieu d’exhibition, les curieux venaient y voir à quoi pouvait donc ressembler le lion, fier animal dépeint dans la Bible; les singes, ces étranges animaux qui nous ressemble, et nous poussent à une certaine fascination; ou encore l’éléphant, ce gigantesque mastodonte. Mais il n’est plus question de mythes, à l’heure actuel nous avons la télévision, les manuels scolaires et l’internet pour voir à quoi ressemble ces animaux, leur mode de vie et leur habitat.
Plusieurs raisons à cela.
Ces animaux servent tout d’abord d’ambassadeur, je pense qu’il est toujours plus impressionnant et plus marquant de voir un animal en vrai. Surtout lorsque l’on est un enfant, et que nos sens demandent à être comblé, les livres écrits en pattes de mouches, on n’en veut pas.
Les zoos peuvent servir de réservoir génétique et de laboratoire pour la réintroduction, pour les espèces en danger d’extinction. Il existe un problème bien connu chez les populations qui sont diminuées à un petit nombre d’individus, c’est que la reproduction entre ces individus risque d’augmenter l’apparition de tares génétiques à cause d’accouplements entre membres généalogiquement proche (entre cousin et cousine ou pire le père avec la fille). Lorsque le nombre de représentant se trouve sous un chiffre critique, l’apparition de tares est trop importante et même si l’espèce n’est plus mise en danger par son environnement, elle est irrémédiablement condamnée.
D’où l’utilité des zoos, avec des programmes de reproduction: on comprend mieux quels sont les besoin de l’animal, on peut reconstituer une population à réintroduire et éviter la dérive génétique en contrôlant les couples.
De plus ils peuvent servir de zone tampon, en attendant que leur environnement naturel puisse à nouveau les accepter (fin du braconnage, réserves naturelles, dépollution).
Voilà les principales raisons qui me viennent à l’esprit.
Il existe tout de même des points noirs – qui peuvent être corrigés ou mieux compris.
Le zoos consiste en l’enfermement dans des espaces clos (ou délimités) et qui sont parfois bien différents de leur habitat naturel. Oui et non. Ça dépend du zoo alors, dans les pays Européen, des avancées sont en train d’être faite sur le plan juridique sur bien-être animal, et l’on comprend de mieux en mieux les besoins des pensionnaires. Et s’il n’y a pas trop de coupes de budgets, et que l’argent est proprement réinvesti, les cages et enclos devraient être agrandis pour correspondre au besoins minimum de l’animal: celui de pouvoir exprimer un comportement normal, c’est à dire ne pas devenir gaga et pouvoir se retirer des yeux du public si nécessaire.
De plus il ne faut pas oublier que des vétérinaires et des soigneurs veillent sur leur santé et leur alimentation… alors que dans la nature, les animaux ne sont pas certains de rencontrer un docteur et peuvent subir des période de disettes, les exposants aux maladies, à de la souffrance, voir à la mort.
Pourquoi ne pas favoriser directement la réintroduction, et mettre des lois pour protéger les animaux?
Ce ne serait pas un soucis s’il n’était pas question d’argent, de moyen de survie et de respect des lois. Les animaux menacés ne le sont pas forcément à cause du braconnage, d’un commerce trop important ou de la chasse; ils le sont souvent à cause de la disparition de leurs territoires. Le fermier qui brûle des terres, ne le fait pas forcément par pure cupidité, elle a une famille à nourrir.
Ensuite, il existe des convention et des lois. Ils sont là, on les connaît, et on sait qu’ils existent (ou pas); le problème vient plutôt de leur application. Déjà peut-on contraindre l’application de lois qui mettent en péril la santé de populations humaines?.. Ce sera un pour autre débat.. La chasse ou la pêche de certains animaux peuvent-être très lucrative, à cause de la demande en amont, qui peut venir de pays sensibilisé à la disparition des espèces (que ce soit culturel tel que la médecine traditionnelle chinoise ou pour le luxe)! Les solutions reste le soutient au développement, de soutiens financiers (créations de parc, et un salaire convenable et régulier pour les gardiens), la lutte contre la l’éducation et le respect des conventions internationales.
Et les bénéfices du zoo ne doivent pas entrer dans une logique purement marchande, mais dans celle d’amélioration, de développement de programmes de protection, de réintroductions, de sensibilisation et de politiques sociales.
Le jour où les espèces ne seront plus menacées par l’homme, on pourra en finir avec les zoos et je croise les pattes pour que ça arrive le plus vite possible :3.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 4 juillet 2012
Je vous ment, ce n’est pas tout à fait du premier coup de scalpel dont je vais vous parler, ma lame était déjà passé sur un criquet et une écrevisse.
Celui que j’appellerai mon vrai premier coup de scalpel c’est fait en travaux pratiques d’anatomie sur un animal que l’on peu croiser dans la rue ou son jardin, toucher, caresser et s’en occuper. Sur un animal que l’on voit souvent en photo, tétant auprès de sa mère et un autre courant dans les près. Ce sont les chiens, le cheval et le bovin.
Les premières pièces (au premières séances l’on n’avait pas d’animaux entiers), sont probablement les plus facile à tenir en main, observer et disséquer. L’odeur de putréfaction des morceaux plus ou moins bien conservés n’étaient d’aucune gène, et les travaux pratiques laissaient peu de temps à l’imagination.
Ce n’est que plus tard lorsque l’on a commencé à voir arriver des animaux entiers dans la sale, et de voir ceux qui étaient stockés dans les pièces froides (il est impressionnant comme le bruit des machines est plus pesant qu’un silence de morts). Et là, ça commence vraiment à faire quelque chose. Encore que, les animaux destinés à la viande je m’y suis fait. Autant, un cheval ou des chiens et chats c’est une autre histoire.
Bien sûr, les animaux d’abattoir (cheval et bovin) sont destinés à la transformation de tout manière, mais les chiens et chats c’est autre chose. Ce n’est pas évident de voir ces yeux fermés ou vitreux, ces corps silencieux.
Le chiens ont une autre histoire, il est nullement possible de savoir s’ils ont été choyé par leurs éleveurs (que cela ne déplaise à certains préjugés, les éleveurs ne sont pas forcément des brutes insensibles qui voient du plaisir à voir leurs animaux partir), s’ils ont été accueilli dans un foyer agréable ou s’ils ont été lâchement abandonnés. Ce sont des vieux chiens pour la plupart, qui proviennent de centres de protection des animaux et qui n’ont pas trouvé de maître à temps… Et ça ça raisonne dans votre tête.
Vous êtes étudiant, vous savez que vous idéalisez les choses. N’empêche, vous commencez à construire un mur pour protéger vos émotions. Ce n’est pas du déni, au contraire c’est une reconnaissance, vous savez pourquoi ce mur est construit. Pour ma part, je réfléchis souvent, je suis triste mais je ne pleure pas. Je pense à ce qui a pu empêcher ces chiens à être adopté à temps avant de recevoir l’injection létale. Ce sont de beaux chiens pourtant, même des chiens de races pour certains.
Est-ce parce qu’ils étaient vieux? Étaient-ils moins tranquille que ce à quoi les potentiels adoptant s’attendait? Était-ce de l’agressivité? Je n’en sais rien, et je ne pense pas que savoir apporterait quelque chose de plus.
D’un certain côté, je ne me suis que plus attaché à mettre à profit au maximum les séances d’anatomie, que ces sacrifices soient bien utilisés! Enfin, heureusement que tout ça n’est pas pour rien, et que ça me permettra de donner des coups de scalpels bien placés pour soigner nos amis à quatre pattes, Warf :3.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Car grâce à eux vous pourrez nourrir votre cerveau assoiffé de connaissances (braaaiiin :E) et crâner en société.
Bon pour ton poil, bon pour tes yeux.
Vous allez voir, ils sont gnarfement sympas, bavards et poilus!
Parmi les sujets que j'ai traîté:
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Bonne question : 3, je vais tentenr d'apporter ma réponse.
Les furries sont les personnes qui s'intéressent et aiment l'art antropomorphique (un mix entre un homme et un animal), voir aussi des créatures fantastiques (gryphons, dragons, ...) ou d'animaux parlant (les hrm, petits poneys magiques par exemple, mais ceux là c'est des extrêmistes à mes yeux).
Chacun participe à la communauté furry, y apporte sa petite pierre, en général en se créant un personnage furry (un fursona, un alter-égo en quelque sorte), mais aussi par le dessin, l'écriture voir la couture (pour ceux qui se fabriquent un costume, appellé fursuit).
L'imaginaire joue un grand rôle, et c'est ça que j'adore! Warf ♥!
Ahah, je suis un peu timide. Si vous lisez ça c'est que vous vous en savoir un peu plus sur moi, heureusement que l'on ne me voit pas rougir sous ma fourrure.
Je suis étudiant en médecine vétérinaire et passionné d'informatique et de sciences médicales et biologiques depuis tout petit, et je vais tenter de partager ça avec vous : 3. Et si j'arrive à vous faire sourire et réfléchir c'est que j'ai réussi, warf warf warf.
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Une photo de bébés Bergers Belges Malinois pour vous faire fondre votre coeur, par D Williams, sous Creative Commons.