Écrit le 23 août 2012
Un bref article pour aujourd’hui.
Et encore sur les pseudo-sciences. Je suis énervé, consterné et bouleversé. Et que l’on puisse s’y faire de l’argent dessus tout en sachant que ça ne marche pas, me paraît encore plus malhonnête. En passant au super marché avec un ami – juste pour acheter innocemment quelques articles sans grande valeur nutritive (nomnom, café) – on c’est un peu attardé sur les rayons et je suis tombé sur…
Une boisson pour éliminer les toxines avec tous les bons produits qu’il faut pour éliminer les toxines, je vais vous citer quelques ingrédients qui me viennent en tête: quelques acides aminés (ce sont les briques essentielles pour les protéines, si je ne me trompe il y avait l’asparagine, qui est aussi un diurétique), des extraits naturelles de deux trois plantes, des sucres, de l’eau et du citron (peut-être comme conservateur et pour le goût).
Je n’y ai pas goûté, mais on vous vend une eau pour pisser. Non, pour cette fois-ci, je ne mâche pas mes mots, on vend de l’eau pour pisser. Si quelqu’un essayait de me revendre un tel truc, je me serais mis à lui courir après en tentant de lui mordre les fesses, foi de chien, Grrr :E ! Bon à la limite, si j’avais une légère hypertension (dans laquelle les diurétiques sont conseillés, ces molécules vous faisant produire plus d’urine, vous perdez des liquides, et donc moins d’eau dans le sang, d’où une pression moins importante), mais encore là j’aurai préféré un médicament dosé et adapté au traitement.
Revenons en à la boisson, elle n’a en soit rien de bien formidable, sauf que le producteur veut vous faire acheter de la poudre de perlimpinpin. Jusqu’ici on n’a pas encore prouvé qu’il n’existe de plantes, boissons, rituels chamaniques et autres qui puisse vous détoxifier… car tout cela est fondé sur une supercherie, celle des toxines: on aurait besoin de faire des « cures de détox » (sic!) car les bactéries dans notre colon produisent des toxines…
Oui, la flore bactérienne peut se détraquer et mettre en place un terrain apocalyptique qui peut vous faire tomber malade, dont l’une des conséquences les plus visibles peut être la diarrhée (ce que je concède, est terriblement désagréable). Mais là soit vous attendez que ça passe, soit vous prenez des médicaments. Si vous voulez éviter de tomber malade à cause de ça, soignez votre bonne petite flore bactérienne qui est là pour quelque chose (participer la digestion et non pas pour vous rendre malade), entretenez un bon hygiène de vie, faîtes attention à la conservation et cuisson des aliments, et surtout, par pitié, lavez vous les mains.
Pour en revenir à la boisson, vous pouvez en acheter si vous le voulez et si vous y tenez, vous pouvez en discuter avec moi (je reste ouvert à toute discussion, je ne demande qu’à être convaincu)… ce qui m’énerve c’est que l’on veuille vendre quelque chose comme bon pour la santé alors que jusqu’ici l’on n’a pas de preuve tangible que ce soit vraiment bon pour la santé.
Et puis, ça se trouve, c’est délicieux les acides aminés au citron.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 23 juillet 2012
Je n’aime pas l’expérimentation animale, je préfère travailler sur des cellules que l’on a fait se multiplier dans une éprouvette, bidouiller des algues ou cultiver des bactéries génétiquement modifiées. Non, réaliser des expériences sur des animaux (à moins qu’elles soient inoffensives et ne portent ni atteinte à l’intégrité physique ou psychique de l’animal, il y en a) c’est vraiment pas mon truc. C’est pas gnarf 3:.
Non, je n’aime pas, mais je ne condamne pas non plus. Les étudiants que j’ai rencontré, les doctorants et les chercheurs n’ont jamais montré grand plaisir à sacrifier un animal pour la science. D’ailleurs ce n’est pas pour tuer des souris, des grenouilles ou des poissons que l’on fait ça: autant alors devenir dératiseur, pêcheur et pour les grenouilles… heu…. Après, parmi mes camarades se cache peut-être des psychopathes, un peu comme ces pompiers qui allument des incendies 3:.
À la base, tout sujet de recherche commence par l’élaboration d’un dossier: sujet de recherche, explications théoriques, matériel nécessaire (outils et animaux), collaborateurs (chercheurs, techniciens, spécialistes…). Notez bien le « matériel nécessaire », auquel j’ai précisé « animaux », n’y voyez pas un côté Descartien où je vois l’animal comme une machine, pas du tout; prenez le dans le sens expérimental. Le matériel expérimental aurait pu tout aussi bien être constitué de cobayes humains.
Le dossier, va ensuite se balader par plusieurs comités: collège scientifique, comité d’étique, secrétariats divers, trésorier, etc. Chacun va y apporter de son avis. Dont celui qui nous intéresse, un avis éthique. Le comité éthique rassemble souvent plusieurs chercheurs mais pas exclusivement, et il est renouvelable (on ne retrouvera pas forcément le même vieux rabougri, on pourra y trouver des vieux un peu plus jeune, et des jeunes pas encore vieux). Ils doivent être au courant des lois sur le bien-être animal, mais aussi sur les différents besoins (taille des cages, nourriture, calme, propreté, nombre maximal d’individu sur un même espace). Et ils peuvent avoir des inspections.
Ensuite un chercheur ne travaille jamais seul, je n’ai pas encore rencontré un seul article qui n’implique qu’une seule personne. Donc bon, le savant fou qui travaille seul dans son laboratoire, c’est une image de roman. Donc pour pouvoir faire des choses tordues, machiavélique et terrible, il faut que tout le personnel de laboratoire ait l’esprit mal tourné.
Je déteste que l’on sorte de vieilles images qui datent déjà de plus d’un demi-siècle et qui n’ont rien à voir avec l’état de la recherche maintenant, et qui même à l’époque étaient exceptionnelles. Mettre en avant des photos atroces (oui j’ai dit atroce, je les trouve atroce, comme la plupart des gens), avec des chiens auxquels on a greffé la tête d’un autre chien, des photos de singes qui ont du plexiglas à la place d’une partie du crâne, etc. Non, non et non. Ce serait comme mettre en avant des photos de scènes de crimes, de criminels qui ont un lien de parenté (plus ou moins éloigné) avec des activistes anti-recherche.
Pour ceux qui croient que l’on fait de la vivisection tous les jours ou très souvent en labos… non. Si je dois étudier le fonctionnement du système immunitaire d’une souris, je ne vois pas l’intérêt de la disséquer vivante, de lui récupérer les ganglions, la rate et le thymus pour les analyser ensuite au microscope, tandis que l’animal tressaute morbidement de douleur. Yurk 3:. Les expériences qui nécessitent un animal vivant et exposé directement à des souffrances sont rares: ce sont les expériences sur la douleur, ou qui ne peuvent pas exploiter d’antalgiques, anesthésiques et des calmants (mais là, je ne vois pas quelle type d’expérience peut nécessiter ça), et ces expériences sont strictement contrôlées. Si l’animal souffre, à cause de l’expérience, on met fin à l’expérience, et si on doit en arriver là, abréger ses souffrances.
De plus, la douleur est un biais, l’animal stressé ne réagira pas de la même manière que l’animal détendu ou du moins dont on évite tout stress inutile… et qui sait à quel point la douleur est source de stress! Si je sais que l’animal a souffert, je rejette l’étude scientifique, elle n’a pas grand intérêt car les résultats ne sont plus acceptables (scientifiquement et éthiquement).
Une autre chose, on ne saute pas directement sur un modèle animal, si on le peut on travail d’abord, sur des bactéries, sur des tissus ou des cellules humaines ou animales misent en cultures pour déjà observer les effets in vitro. L’hypothèse est que ce qui s’observe dans l’éprouvette a de forte chance de fonctionner chez l’organisme entier… mais il faut vérifier car les interactions entre cellules dans un organisme est fort complexe, et peut influencer sur le fonctionnement de molécules étudiées. Par exemple, les anti-oxydants semblent prometteurs dans l’éprouvette, mais n’ont que peu ou pas d’effet, voire sont nocifs chez un organisme entier!
Certaines disent que l’on peut directement utiliser des cobayes humains (d’autres seraient même partant d’utiliser directement des prisonniers), comme on demande à des volontaires de tester des molécules prometteuses avant leur mise en vente en pharmacie. Ce n’est pas aussi simple. Ces études ont deux buts: vérifier que la molécule est bien active et fait ce que l’on en attend, et quels sont les effets secondaires chez l’homme (la population en général). Les animaux de laboratoires (à quelques exceptions prêt) ont spécialement été sélectionné pour avoir une variété génétique très faible, ont des mutations connues (par exemple des souris de laboratoire qui naissent sans système immunitaire) et on sait plus ou moins à quoi s’attendre en les faisant se reproduire entre eux.
De plus les souris se reproduisent de façon exponentiel! Si vous avez besoin d’un grand nombre de sujet avec la même mutation, quelques semaines suffisent. Imaginez faire ça chez l’homme… avec les problèmes éthiques que cela soulèverait d’avoir des enfants cobayes. Et dire que ça ne choquerait pas certains de vouloir utiliser des enfants cobayes, plutôt que des animaux de laboratoire spécialement élevés pour les besoins de la recherche et avec une durée de vie naturellement plus courte que celle d’un être humain.
Les animaux de laboratoires, je les considère comme de petits héros des temps modernes, leur sacrifice apportant des informations à la science et voir même à leur propre espèce. Et je peux vous dire que le jour où l’on n’aura plus besoin d’utiliser d’animaux de laboratoire, mais des modèles informatiques suffisamment proche de la réalité ou d’autre alternative, je serai le premier heureux.
Mais je peux déjà me contenter de voir plus de gens comprendre que les scientifiques ne jouent pas à refaire le docteur Frankestein, et que ce ne sont pas non plus des sadiques qui aiment à tourmenter les animaux.
La photo de l’article a été prise par Eric Eh?, œuvre sous licence creative commons.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 21 juillet 2012
Il y a peu de temps de temps, avant de rompre je pensais sérieusement à me marier. Malheureusement, cela ne se passait pas très bien entre ma dulcinée et moi, et finalement nous ne nous sommes pas mariés. Et là, cela vous étonnera, je suis heureux que nous ne nous soyons pas marié. Il y avait une grave crise de confiance (je n’entrerai pas dans les détails pour aujourd’hui).
En effet, le mariage est un contrat, pour fonctionner il faut que chaque partie ait confiance: l’état (qui demande à ce qu’un certain nombre de critères soit vérifié pour éviter les mariages blancs) ou l’église (selon les préceptes religieux), et chacun des conjoints («je t’aime», «tu m’aime», «Warf! Nufnufnuf ♥ », vous connaissez la chanson). En France, il suffit de lire les textes de loi et de voir la tête du contrat de mariage pour voir que c’est vraiment un contrat (vous aurez remarqué que je me répète).
Donc, comme je dis le mariage est une question de confiance, comme deux associés qui vont fonder une entreprise doivent se faire confiance. Il peut y avoir des disputes et des situations difficiles, et pire des coups bas. Le moyen de s’en sortir c’est la discussion, le plus rapidement possible avant que des différences et des incompréhensions trop importantes se mettent en place. Un prêtre Orthodoxe m’avait d’ailleurs dit qu’il s’était fixé avec sa femme qu’il n’était pas question de finir la journée sans avoir discuté et réglé tout problème de couple.
Je reprends, le mariage est un contrat. Mais un contrat ça sert à quelque chose, ça peut permettre d’éviter que votre conjoint aille voir ailleurs (mais m’est avis que si vous avez peur qu’il soit comme ça, qu’il ne faille d’abord un peu revoir votre couple) et le garder contractuellement attaché à vous. Néanmoins ce n’est pas son utilité première, et il serait fou de se reposer là-dessus, le contrat va faire jouer des textes de lois: entre-aide, imposition commune, etc. Qui vont régirent la propriété des biens, ce qu’il se passera en cas de divorce, les impôts et les dettes.
Oui, la loi parle pas mal de choses ennuyeuses, mais qui finalement sont là pour protéger le couple et les personnes.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Écrit le 17 juillet 2012
J’ai eu récemment avec mon excellente amie Rena-Circa une discussion sur les zoos, j’ai presque regretté de lui en avoir parlé, de peur de la blesser car je sais que le sujet est sensible chez elle. Et je n’aime pas blesser mes amis 3:. Mais, je vous rassure, la discussion c’est bien passée. J’ai juste eu une peur bleu quand je ne lisais plus de réponse vers la fin et qu’elle était d’un coup déconnectée… Non elle n’était pas fâchée, ça connexion avait juste lâchée.
Je la remercie d’avoir joué avec moi le rôle du diablotin et de l’angelot qui chuchotes chacun leur conseil à l’oreille de leur protégé.
Les zoos ont souvent fait l’objet de critiques, quant à leur utilité et de la cruauté de garder des animaux enfermés, mais ont depuis toujours réussi à attirer un public varié: des curieux, des passionnés de zoologie, des photographes, des écrivains, des journalistes, des enfants, des scientifiques… et probablement vous même! Mais quel est l’utilité d’enfermer des animaux, alors qu’ils pourraient gambader librement et heureux dans la nature?
Les zoos ont depuis tout temps été un lieu d’exhibition, les curieux venaient y voir à quoi pouvait donc ressembler le lion, fier animal dépeint dans la Bible; les singes, ces étranges animaux qui nous ressemble, et nous poussent à une certaine fascination; ou encore l’éléphant, ce gigantesque mastodonte. Mais il n’est plus question de mythes, à l’heure actuel nous avons la télévision, les manuels scolaires et l’internet pour voir à quoi ressemble ces animaux, leur mode de vie et leur habitat.
Plusieurs raisons à cela.
Ces animaux servent tout d’abord d’ambassadeur, je pense qu’il est toujours plus impressionnant et plus marquant de voir un animal en vrai. Surtout lorsque l’on est un enfant, et que nos sens demandent à être comblé, les livres écrits en pattes de mouches, on n’en veut pas.
Les zoos peuvent servir de réservoir génétique et de laboratoire pour la réintroduction, pour les espèces en danger d’extinction. Il existe un problème bien connu chez les populations qui sont diminuées à un petit nombre d’individus, c’est que la reproduction entre ces individus risque d’augmenter l’apparition de tares génétiques à cause d’accouplements entre membres généalogiquement proche (entre cousin et cousine ou pire le père avec la fille). Lorsque le nombre de représentant se trouve sous un chiffre critique, l’apparition de tares est trop importante et même si l’espèce n’est plus mise en danger par son environnement, elle est irrémédiablement condamnée.
D’où l’utilité des zoos, avec des programmes de reproduction: on comprend mieux quels sont les besoin de l’animal, on peut reconstituer une population à réintroduire et éviter la dérive génétique en contrôlant les couples.
De plus ils peuvent servir de zone tampon, en attendant que leur environnement naturel puisse à nouveau les accepter (fin du braconnage, réserves naturelles, dépollution).
Voilà les principales raisons qui me viennent à l’esprit.
Il existe tout de même des points noirs – qui peuvent être corrigés ou mieux compris.
Le zoos consiste en l’enfermement dans des espaces clos (ou délimités) et qui sont parfois bien différents de leur habitat naturel. Oui et non. Ça dépend du zoo alors, dans les pays Européen, des avancées sont en train d’être faite sur le plan juridique sur bien-être animal, et l’on comprend de mieux en mieux les besoins des pensionnaires. Et s’il n’y a pas trop de coupes de budgets, et que l’argent est proprement réinvesti, les cages et enclos devraient être agrandis pour correspondre au besoins minimum de l’animal: celui de pouvoir exprimer un comportement normal, c’est à dire ne pas devenir gaga et pouvoir se retirer des yeux du public si nécessaire.
De plus il ne faut pas oublier que des vétérinaires et des soigneurs veillent sur leur santé et leur alimentation… alors que dans la nature, les animaux ne sont pas certains de rencontrer un docteur et peuvent subir des période de disettes, les exposants aux maladies, à de la souffrance, voir à la mort.
Pourquoi ne pas favoriser directement la réintroduction, et mettre des lois pour protéger les animaux?
Ce ne serait pas un soucis s’il n’était pas question d’argent, de moyen de survie et de respect des lois. Les animaux menacés ne le sont pas forcément à cause du braconnage, d’un commerce trop important ou de la chasse; ils le sont souvent à cause de la disparition de leurs territoires. Le fermier qui brûle des terres, ne le fait pas forcément par pure cupidité, elle a une famille à nourrir.
Ensuite, il existe des convention et des lois. Ils sont là, on les connaît, et on sait qu’ils existent (ou pas); le problème vient plutôt de leur application. Déjà peut-on contraindre l’application de lois qui mettent en péril la santé de populations humaines?.. Ce sera un pour autre débat.. La chasse ou la pêche de certains animaux peuvent-être très lucrative, à cause de la demande en amont, qui peut venir de pays sensibilisé à la disparition des espèces (que ce soit culturel tel que la médecine traditionnelle chinoise ou pour le luxe)! Les solutions reste le soutient au développement, de soutiens financiers (créations de parc, et un salaire convenable et régulier pour les gardiens), la lutte contre la l’éducation et le respect des conventions internationales.
Et les bénéfices du zoo ne doivent pas entrer dans une logique purement marchande, mais dans celle d’amélioration, de développement de programmes de protection, de réintroductions, de sensibilisation et de politiques sociales.
Le jour où les espèces ne seront plus menacées par l’homme, on pourra en finir avec les zoos et je croise les pattes pour que ça arrive le plus vite possible :3.
Par Gabriel Tach | Commentaires? |
Car grâce à eux vous pourrez nourrir votre cerveau assoiffé de connaissances (braaaiiin :E) et crâner en société.
Bon pour ton poil, bon pour tes yeux.
Vous allez voir, ils sont gnarfement sympas, bavards et poilus!
Parmi les sujets que j'ai traîté:
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Bonne question : 3, je vais tentenr d'apporter ma réponse.
Les furries sont les personnes qui s'intéressent et aiment l'art antropomorphique (un mix entre un homme et un animal), voir aussi des créatures fantastiques (gryphons, dragons, ...) ou d'animaux parlant (les hrm, petits poneys magiques par exemple, mais ceux là c'est des extrêmistes à mes yeux).
Chacun participe à la communauté furry, y apporte sa petite pierre, en général en se créant un personnage furry (un fursona, un alter-égo en quelque sorte), mais aussi par le dessin, l'écriture voir la couture (pour ceux qui se fabriquent un costume, appellé fursuit).
L'imaginaire joue un grand rôle, et c'est ça que j'adore! Warf ♥!
Ahah, je suis un peu timide. Si vous lisez ça c'est que vous vous en savoir un peu plus sur moi, heureusement que l'on ne me voit pas rougir sous ma fourrure.
Je suis étudiant en médecine vétérinaire et passionné d'informatique et de sciences médicales et biologiques depuis tout petit, et je vais tenter de partager ça avec vous : 3. Et si j'arrive à vous faire sourire et réfléchir c'est que j'ai réussi, warf warf warf.
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Une photo de bébés Bergers Belges Malinois pour vous faire fondre votre coeur, par D Williams, sous Creative Commons.